La circulaire ministérielle reçue le 31 janvier 1914 par le Préfet de Loire-Atlantique a fixé l’enjeu. L’Indigène présent sur le territoire métropolitain doit garder un « souvenir reconnaissant des procédés dont on aura usé à [son] égard. Notre influence dans la grande colonie africaine ne pourra qu’y gagner »…(Patsy)