La réédition par les Editions du Passager clandestin du livre Le féminisme ou la mort ne pourrait avoir qu’un intérêt historiographique : remettre à la portée de toutes et tous un classique du féminisme radical de la décennie 1970 dû à l’une des figures les plus singulières du MLF d’alors : Françoise d’Eaubonne. Mais cela ne serait pas rendre justice à un texte de 1974 qui, près d’un demi-siècle plus tard, n’a rien perdu de son actualité. (Patsy)