«  Mon enterrement doit être aussi simple que celui des derniers crève-la-faim. La seule différence que je demande, c’est d’envelopper mon cercueil dans un drapeau rouge, le drapeau du prolétariat de tous les pays pour l’émancipation duquel j’ai donné la meilleure part de ma vie. » L’homme qui couche ces mots dans son testament se nomme Léo Frankel. L’historien Julien Chuzeville vient de lui consacrer une biographie intitulée Léo Frankel communard sans frontières publiée par Libertalia. (Patsy)