Il s’appelle Andres Tzompaxtle Texpile, alias Rafael, et longtemps on le crut mort. C’est à cet Indien anonyme que le journaliste John Gibler s’est attaché dans L’évasion d’un guérillero, publié par les Éditions toulousaines Ici bas. (Patsy)

Nous sommes alors dans le Mexique des années 1990, un pays miné par la violence sociale et politique