Et pour quelle raison, me direz-vous, Anonymous dans l’équation ? Eh bien, parce qu’en replongeant à la fin du XIVè siècle, on retrouve des compositeurs dont les noms fleuris confinent à l’anonymat, sans compter les anonymes pur jus qui foisonnent à ces époques reculées.

La traversée des millénaires par un anonymat quelquefois de notoriété publique est en soi un mystère emprunt de mysticisme…

Une émission, donc aujourd’hui, sur la fuite du Temps illustrée par les ensembles Ferrara sous la direction de Crawford Young et Mala Punica sous la conduite du flutiste Pedro Memelsdorff.

Une émission de François Prost